Au regard des risques que font courir les perturbateurs endocriniens à la santé humaine et aux écosystèmes, l’initiative du Conseil régional d’adapter à l’échelle de son territoire la charte « Villes et territoires sans perturbateurs endocriniens » est à saluer.
Le CESER suggère des précisions avec la référence à une liste des substances concernées, une modification des critères proposés pour les marchés publics et un renforcement des ambitions pour la restauration scolaire. Enfin, l’information et la communication sont essentielles et il semble important de mettre en place un dispositif de suivi et de bilan de la charte.